Niagara, m’y voilà

Niagara. Projet fou, sur lequel je vais passer plusieurs mois. L’occasion de découvrir une région bien sympathique. Parce que Niagara, ce n’est pas que ça:

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Niagara, ce n’est donc pas seulement les chutes, point focal du tourisme dans le coin, où la terre entière est concentrée sur un kilomètre de bord de rivière. C’est sûr, ça vaut le coup d’être vu, c’est très impressionnant. Mais la région ne se limite pas à ça.

C’est assez effrayant, comme il suffit de quelques minutes de marche (ou encore moins de minutes de vélo) pour se sortir de la foule et admirer la vallée de la Rivière Niagara, soudainement déserte dès qu’on s’éloigne du gros truc qui fait du bruit et de la pluie perpétuellement.

Niagara, c’est avant tout une rivière, une belle rivière, frontalière entre le Canada et les États-Unis. Rivière exploitée, voire surexploitée, comme en témoignent les centrales hydroélectriques de part et d’autre.

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Niagara, ce sont des tas de vignobles, de vergers, de jardins en tous genres. Les producteurs vendent leurs pêches, pommes, prunes, maïs, tomates, œufs, j’en passe et des meilleures, dans des tas de petits kiosques au bord de la route. Difficile de ne pas s’arrêter tout le temps, tout est très tentant. Remarquez sur la photo les ventilateurs antigel, qui protègent les cultures au printemps et à l’automne (ou juste au printemps ou à l’automne, en fait, je sais pas).

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La région est piégée entre les deux grands lacs, Ontario et Erie. Ce sont de vraies mers intérieures: plage, voile, pêche en perspective.

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Niagara, c’est plein d’autres trucs, mais on a le temps d’y revenir…

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